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 « L'ennemi enfermé dans la maison est mille fois plus à craindre que celui qui erre dans la campagne. » ★ SULPICIA VOLTURI. ||

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Chasseur de vampire & inventeur
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« L'ennemi enfermé dans la maison est mille fois plus à craindre que celui qui erre dans la campagne. » ★ SULPICIA VOLTURI. || Empty
MessageSujet: « L'ennemi enfermé dans la maison est mille fois plus à craindre que celui qui erre dans la campagne. » ★ SULPICIA VOLTURI. ||   « L'ennemi enfermé dans la maison est mille fois plus à craindre que celui qui erre dans la campagne. » ★ SULPICIA VOLTURI. || Icon_minitimeMer 20 Fév - 4:51

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« L'ennemi enfermé dans la maison est mille fois plus à craindre que celui qui erre dans la campagne. »

SULPICIA VOLTURI & CAMPBELL R. PAGE
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Ah c'est bien la première fois que je m'étais autorisé à aller aussi loin pour aller chasser. Habituellement, je ne dépassais en rien les alentours de Forks, mais aujourd'hui, c'était autre chose : l'Italie, magnifique pays non loin de la France où l'on pouvait percevoir de nombreux monuments tels que la très célèbre Tour de Pise. Et qui plus est, le soleil n'y manque pas comparé à Forks ou à mon pays natale l'Angleterre... Non seulement je pouvais travailler mais en plus je pouvais sûrement me garder quelques jours en plus ici comme pour servir de vacances ? Je pouvais bien profiter du beau temps, non ? Même seul, ça ne m'ennuyais pas de rester ici un peu. J'avais fais d'ailleurs en sorte d'en parler à deux trois personnes que j'allais venir ici et non à tout le monde pour éveiller la crainte de qui que ce soit, car oui, ma venue en Italie n'avait été en rien choisit au hasard... En effet, Renesmée m'avait montré lors de notre première rencontre qu'est ce qui poussa sa famille et ses amis à la défendre, elle. Une seule réponse : une grande famille vampirique avait décidée d'imposer sa loi et considérait que les enfants immortels devaient être interdit. Les Volturi. J'appris jusqu'à ce jour qu'ils étaient un peu les rois et les reines qui dirigeaient la vie du reste des sangsues, ce qui m'a d'ailleurs plutôt étonné au départ... Je m'attendais plutôt à ce que les vampires face comme bon leur semble, s'abreuver du premier inconnu qui passe, mais non. Ils n'avaient pas tout les droits, même "mort-vivant".. Mon but était donc plus ou moins soit d'en attraper un ou soit d'en tuer un sur place... Oui, je vous l'avoue, c'est pas une tâche facile ! Je ne les connais même pas. Je ne sais pas exactement combien ils seront lorsque j'arriverais à leur demeure et je savais que face à un groupe de vampires, je n'aurais aucune chance de les vaincre. Cependant, par chance - ou malchance -, la famille organise des visites du château pour tout nombre curieux. J'ai tout de suite compris que comme tout vampire qui se respecte, sûrement les touristes visitent le château pour ne plus jamais en ressortir. Encore quelque chose dont je devais me méfier...

Oh mais n'allez pas croire que je suis partis comme ça, sur un coup de tête pour me rendre à Volterra ! Non, bien sûr que non.. J'ai dû sûrement prendre un maximum d'armes tel que mon lanceur de filet ou mon laser et même mon arc avec des flèches digne de la technologie de pointe ! Histoire d'être bien équipé lors de l'attaque. Puis bien sûr, j'avais pris de quoi faire vacancier dans ma valise afin de recouvrir mes armes et avec tout ça, un appareil photo. Avant de partir, je suis malgré tout passé voir mes parents pour leur dire que je partais en vacances, histoire de me reposer l'esprit, puis je suis allé voir mes trois meilleurs amis pour leur expliquer mon plan... Bien sûr que j'allais les mettre au courant, c'était peut être les seuls à qui je pouvais réellement confier ce genre de chose...


- ...Gregory ? ...Allen ? ...Seamus ? ÉCOUTEZ-MOI !! Aujourd'hui est un grand jour ! Aujourd'hui... Je pars en voyage. Loin de Forks... Trrrèèèèèèssss loin de Forks ! Oui, je vais en Italie ! Et vous savez ce qu'on trouve en Italie !?! Des vampires. Et pas n'importe quels vampires ! : Sûrement les sangsues les plus effrayantes qui soient, celles qui dirigent tout les autres... Oui, je veux parler des souverains des vampires du monde entier... !

Et c'est là que je préférais fermer ma bouche. Tout les trois se mirent à bondir sur place me demandant tous à m'accompagner durant cette aventure. Moi, je voulais seulement leur mettre l'eau à la bouche, pas leur servir la totale. Et les encourager qui plus est à me suivre. Au départ, je refusais bien évidemment, même si l'union fait la force comme on dit, je ne voulais pas qu'ils aillent avec moi là bas et prennent de gros risques. Mais comme d'habitude, j'avais du mal à résister plus longtemps, et finit donc par accepter leur compagnie. Quelle grossière erreur.. D'ailleurs, je ne pris pas le risque une seconde fois à faire part mes projets à d'autre personnes tel que Rachel, mon apprenti qui aurait peut être eut la même idée que Seamus, Gregory & Allen. Ni même Mathilda, bien qu'elle soit presque comme une sœur, je ne voulais pas lui créer des ennuis et assumais les responsabilités que je prenais. D'ailleurs je n'allais sûrement pas parler de ça à la famille Cullen !! Mon dieu je ne voulais même pas connaître leur réaction et savais très bien que ça déplairait à tout le monde si j'essayais de mettre un peu de grabuge ! Et puis Nessie qui m'avait dit également qu'elle me protègerait pour la cause que je défendais... Non, les Cullen n'avaient rien à faire dans cette aventure que j'avais décidé de mener moi-même.. Aussi, il fut plus facile d'emporter mes armes, en les séparant dans chaque sacs plutôt que de prendre une grande valise à moi tout seul. Nous prîmes l'avion et bientôt notre but était atteint...

On avait hésité à nous rendre à l'hôtel en premier plutôt que d'aller se rendre de suite au château histoire de nous débarrasser de quelques affaires, mais on se demandait comment on allait emporter nos armes discrètement alors...? En arrivant à l'entrée, on prit l'excuse que l'on venait à peine d'arriver et que comme le château était moins loin que l'hôtel, alors on avait décidé de garder nos bagages avec nous. Et je vous dis pas comment on était stressé, tout les quatre dans la foule, espérant que l'un de ces vampires ne viennent pas à nous bondir dessus.. Sûrement c'est ce qu'ils attendaient avec les autres humains et même si l'un de mes potes me murmurait sans cesse qu'il fallait les aider, je savais que c'était pas le moment pour ça. Que c'était tout bonnement impossible d'arrêter ces buveurs de sangs, et que de toute façon, j'avais vécu beaucoup de scènes comme celle-ci... Non, pour le moment, j'avais décidé, grâce au mouvement de la foule, de me séparer du groupe avec mes amis et de me diriger autre part, n'importe où, un endroit où l'on ne finirait pas comme casse-croûte et puis si l'un d'eux viendrait à nous demander se qu'il nous prend de ne pas prendre la bonne direction, on pourra alors simplement dire que l'on cherchait les toilettes.. Mais que dire lorsqu'on se retrouve face à ça...? Oh mon dieu, j'ai bien l'impression que l'on se trouve dans une espèce de jardin et je ne sais même pas exactement où l'on se trouve à travers le château, là alors, je pourrais donc sortir l'excuse et qui plus est, j'ai bien l'impression d'entendre quelqu'un arriver...
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« L'ennemi enfermé dans la maison est mille fois plus à craindre que celui qui erre dans la campagne. » ★ SULPICIA VOLTURI. || Empty
MessageSujet: Re: « L'ennemi enfermé dans la maison est mille fois plus à craindre que celui qui erre dans la campagne. » ★ SULPICIA VOLTURI. ||   « L'ennemi enfermé dans la maison est mille fois plus à craindre que celui qui erre dans la campagne. » ★ SULPICIA VOLTURI. || Icon_minitimeMer 20 Fév - 22:27



« L'ennemi enfermé dans la maison est mille fois plus à craindre que celui qui erre dans la campagne. »


Slo Fuzz by Sol Seppy on Grooveshark

Du bout des doigts, elle vint effleurer l’épaisseur des marques de peinture à l’huile présentes sur sa toile. L’aspect était rugueux, presque sec, et définitivement gras, si bien qu’un peu de produit marron foncé vint se coller à son index. Sulpicia esquissa un bref sourire dénué d’émotion, avant de brutalement saisir les bords du portrait, puis de le jeter dans le feu crépitant de la cheminée. Elle contempla son œuvre brûlé silencieusement, incapable de calmer cette frustration naissante.

Ce tableau était horrible, songea-t-elle vaguement. Jamais je n’aurais du prendre ces teintes-là. Horrible, odieux, honteux. Cette toile méritait mieux.

Tout en fronçant ses fins sourcils blonds, la Reine rangea délicatement ses affaires de peinture sur la grande table en bois massif, située au centre de la chambre. Puis, elle observa ses appartements avec un soupir. Les murs de la chambre étaient peints en violet, sa nouvelle préférence en matière de décoration, et le mobilier était essentiellement en bois ancien, datant très certainement de l’ère Napoléonienne. Un grand miroir lui faisait face, près du lit en baldaquin aux rideaux de velours pourpres. Le lit ne lui servait que d’accessoire de décoration, entre autres choses. Elle s’y installait lors de certaines occasions qui nécessitaient son utilisation, à des fins purement conjugales. Sulpicia caressa avec nostalgie les draps en satin, se souvenant d’une époque si lointaine, où il lui suffisait de s’allonger pour trouver le sommeil. Les vampires ne dormaient pas, condamnés à rester éveiller jour et nuit, pour la fin des temps. Une part d’elle regrettait cela, le fait de dormir. Comme si ses moindres soucis disparaitraient automatiquement, juste l’espace d’un instant, en fermant les yeux.

Sulpicia décida de quitter ses appartements, une boule au ventre. Elle referma la porte, puis traversa les longs couloirs sans s’arrêter. Les pans de sa longue robe d’un noir corbeau vinrent frôler le sol en pierres durant sa marche, et pour éviter qu’ils ne recueillent la poussière dissimulée dans certains recoins, elle décida de surélever légèrement le tissu. La Reine des Volturi s’attarda sur certaines statues sculptées dans du marbre, les fixant avec indifférence. Leur beauté lui semblait fade, après des siècles d’existence, enfermée dans ce grand château avec pour seule compagnie en l’absence de son mari et de son fils adoptif, la garde des Volturi, ou Athenodora. Elle avait beaucoup d’affection pour sa famille italienne, et ne saurait combien les remercier d’être toujours là à ses côtés, à être ses frères et sœurs. Les Volturi étaient tout ce que Sulpicia avait. Mais malgré cela, la vampire parvenait à en éprouver une certaine mélancolie. Elle s’ennuyait tellement en l’absence d’Aro, spécialement depuis que leur fils était parti en mission a Forks. Même son précieux Liam, son adorable enfant, ne pouvait combler ce manque de part son absence. Si bien que pour occuper son temps libre, elle peignait, encore et encore, détruisant chaque toile qu’elle aurait jugée imparfaite. Il lui arrivait de s’appliquer à lire certains ouvrages de la littérature classique française et britannique, ou encore, de se mettre à la broderie, voire de discuter avec Heidi, ou d’autres membres de la garde comme Jane. Mais ces derniers s’en allaient souvent pour affaires, l’abandonnant alors dans le château. Fort heureusement, Athenodora et Corin restaient toujours à ses côtés pour lui tenir compagnie. Mais Sulpicia se sentait lasse, et très ennuyée. Rien ne semblait l’amuser désormais, alors qu’elle aurait tant souhaité pouvoir jouer, se distraire avec un compagnon de jeu.

Durant sa promenade, la sulfureuse vampire blonde croisa une grande brune au charme fou, garde des Volturi. Cette dernière était suivie d’un certain nombre de touristes, venus dans le but de visiter le château. Mais Sulpicia savait à quoi ils allaient servir.

« Ce fut une bonne chasse Heidi ? salua la Reine avec un petit sourire polit.
- Oui, ma Reine, ils ont l’air très appétissants»

Sulpicia eut un léger rire amusé, puis regarda Heidi s’éloigner dans les profondeurs du château avec les humains. Le don de l’allemande était fort précieux pour les Volturi, sans elle, comment seraient-ils parvenus à se nourrir sans devoir quitter le château ? Sulpicia s’abandonna à ses courtes réflexions en tournant vers la droite, s’offrant le plaisir de sortir dans les jardins. Elle aimait beaucoup cet endroit, si vaste, frais, resplendissant de verdure, de rosiers, d’arbres ainsi que de fleurs de différentes couleurs et de chaque parfum. L’italienne s’arrêta près d’un rosier jaunes, et prit une rose entre ses doigts, caressant ses épines, puis ses pétales avec un sourire. C’est alors qu’elle sentit une odeur non loin de là, une odeur d’humain. Leur sang l’appela aussitôt, et inconsciemment, Sulpicia se sentit entrain de lâcher la rose qui s’écrasa sur l’herbe coupée.

En un rien de temps, grâce à sa rapidité hors du commun due à sa condition de créature de la nuit, elle se retrouva à quelques mètres d’eux. Sulpicia ferma les yeux un instant, dans le but de retrouver son calme, afin de ne pas les alarmer tout de suite. Elle commença à marcher en leur direction, et les accueillit de ses pupilles rouge sang.

« Vous vous êtes perdus, mes chers ? » siffla-t-elle d’une voix douce, presque mélodieuse.

Lorsque Sulpicia darda sur celui qui semblait être la tête pensante de ce petit groupe d’humains, elle sût instinctivement qu’il pouvait devenir fort utile, et être, le compagnon de jeu qu’elle espérait tant. L’italienne se mit à sourire excessivement, tout en s’approchant progressivement d’eux, les bras croisés contre le tissu vaporeux de sa tenue.

« Je peux vous aider à trouver la sortie, si vous le désirez. »



&
PRIVATE SUBJECT WITH SULPICIA VOLTURI & CAMPBELL PAGE RP'S PLACE : VOLTERRA'S CASTLE, IN THE GARDENS ― DRESSED AS : A long black dress made with silk. ― MUSIC THEME : SLO FUZZ, de SOL SEPPY



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MessageSujet: Re: « L'ennemi enfermé dans la maison est mille fois plus à craindre que celui qui erre dans la campagne. » ★ SULPICIA VOLTURI. ||   « L'ennemi enfermé dans la maison est mille fois plus à craindre que celui qui erre dans la campagne. » ★ SULPICIA VOLTURI. || Icon_minitimeJeu 21 Fév - 10:30

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« L'ennemi enfermé dans la maison est mille fois plus à craindre que celui qui erre dans la campagne. »

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» мusic тнeмe «
Prêt de mes trois chers amis : Gregory, Allen & Seamus, je scrutais les environs, non seulement pour voir s'il n'y avait point de vampire ou non, et également simplement par le plaisir d'admirer les lieux. Pas étonnant que cet endroit attirait beaucoup de personne... Mais malheureusement, s'ils savaient que ces lieux étaient remplis de vampires, peut être y aurait-il eut moins de monde. Je retournais dans mes pensées songeant à la foule qui continuait sa visite sans rien même se douter. Puis je me disais que sans doute, ça se passait comme cela tout les jours.. Et que je n'étais pourtant point là pour intervenir. Ça me rendait mal à l'aise... Tant de massacre en si peu de temps, et cela se répétait tout les jours... Allen avait raison au fond, peut être aurais-je pu au moins essayé de les aider, de les défendre, même si je n'aurais sûrement pas le poids face à ces vampires.. Après tout, si les Cullen, tous autant qu'ils sont, les craignaient, c'est qu'ils devaient avoir une bonne raison...

Finalement, je me décidais par sortir mon appareil photo et commençait à prendre des clichés des lieux, comme ferait tout bon touriste perdu, mais pas moins heureux d'avoir découvert ce magnifique paysage qu'offrait le jardin... Je surveillais néanmoins mes trois amis de temps à autre. Voir ce qu'ils faisaient, s'ils s'étaient éloignés où si même un vampire les aurait attaqué dans mon dos, d'une vitesse et d'une discrétion impressionnante. Je savais qu'avec les armes que l'on avait à disposition, ils pouvaient se défendre, mais je préférais rester toujours prêt d'eux dans ces moments tels que ceux-là. Non seulement j'avais plus de capacités en matière de chasse, mais aujourd'hui était tout autre chose. C'était sans doute le risque le plus énorme que je pris jusqu'à ce jour, n'ayant pas su au départ dans quoi je me lançais exactement, s'attendant certes à des vampires plus fort que je n'ai vu auparavant, mais pas aussi puissante par leur organisation pour garder leur secret bien caché, là, dans ce magnifique château.. Voilà pourquoi il y avait toujours autant de touristes à ce jour, qui avaient eut la mauvaise idée de venir ici... Mais les familles ne s'inquiétaient-ils pas lorsqu'ils remarquaient que leur proche ne revenait pas ? N'allaient-ils pas se douter de quelque chose ? Ne cherchaient-ils tous pas la cause de cette disparition ? Ou alors, est-ce parce qu'ils sont loin de Volterra qu'ils ne viendraient pas à douter que leur amis sont mort là bas...? Mais le pire dans tout ça, c'est que cette manie de ramener des humains pour s'en abreuver ensuite perpétuera sans doute toujours sans même que je puisse y changer quelque chose...

Je m'arrêtais bien vite de prendre des photos lorsque j'aperçus une nouvelle tête. Sans prévenir, je saisis mon laser que j'avais garder dans ma poche à l'intérieur de ma veste avant de le cacher doucement derrière mon dos, par simple précaution. Je la regardais un instant d'un air grave voir distant, c'était instinctif, c'était pour cacher ma peur qui commençait à monter tel un poison, alors qu'elle s'approchait peu à peu de nous. Mais j'oubliais... Nous étions des touristes, et il fallait à tout prix garder ce rôle. Je pris une mine un peu confuse avant de me ressaisir et d'afficher un petit sourire alors qu'elle prit la parole...


- Vous vous êtes perdus, mes chers ?

Mon sourire s'agrandit légèrement, essayant de me montrer chaleureux du mieux que je peux, même si ça ne m'empêcha pas pour autant d'avancer un peu pour me retrouver légèrement devant mes alliés, en geste de protection... J'observais un instant la nouvelle venue. Elle avait de longs cheveux blonds magnifiques, des membres fins et des traits parfaits. Et elle portait une longue robe noir lui allant à merveille... Et elle semblait si douce ! J'avais l'impression de retrouver Elise, la première fois que je l'avais rencontré, elle aussi s'était montrée attentionnée, aimable... Mais je restais sur mes gardes : ses prunelles indiquaient bien qu'elle se nourrit exclusivement de sang humain, un seul faux pas et nous risquons vite de mourir sous les crocs de la demoiselle.. Mais pour tout avouer, j'hésitais à utiliser mon arme tout de suite. Lui trancher la tête avec une telle arme ne devrait pas vraiment me poser de problèmes, seulement, il fallait ensuite parvenir à sortir du château se qui serait bien plus compliqué en transportant le corps et risquer de tomber sur un autre vampire.. Je pense que je n'avais pas le choix de la laisser en vie... Je repris donc la parole, m'exprimant également pour mes amis...

- Oui, nous sommes perdus... En réalité, nous étions si fasciné par le décor, que l'on a oublié de suivre les autres... On a alors essayé de les retrouver, mais en vain.. On s'est alors posé là, pensant que peut être, nous finirions par les rattraper...

Peut être me croirait-elle pas, mais j'étais plutôt satisfait de mon excuse. C'était peut être même mieux que le coup des toilettes.. Mais peu importait, il fallait de toute façon que l'on ressorte tous de cette galère en vie... Ce qui ne sera pas choses facile. Mais je gardais mon calme même si je sentais que derrière moi, mes amis, bien qu'ils faisaient tout pour le cacher, étaient sans doute plus qu'apeuré de saisir que l'on se retrouvait plus ou moins coincé... Pour ma part, je commençais peu à peu à passer mon stresse sur le jeu du touriste naïf... J'en prenais un plaisir fou à le jouer, mais jusqu'à où je pourrais agir ainsi ..?

- Je peux vous aider à trouver la sortie, si vous le désirez.
- ... Avec grand plaisir, merci ! J'aurais aimé découvrir plus en détails ce magnifique bâtiment. Mais il est vrai que la visite a déjà commencé, nous avons raté plein de choses.. Il est préférable pour nous de revenir un autre jour... Je vous suis !

Peut être allons échapper à la mort finalement. Du moins il fallait espérer qu'elle dise vrai au lieu de nous raccompagner vers le reste du groupe. Je savais que c'était un risque à prendre de la suivre. Mais d'un côté, si c'était réellement vers la sortie qu'elle allait nous mener, nous n'aurions donc pas à craindre les autres vampires qui pourraient s'y trouver...
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MessageSujet: Re: « L'ennemi enfermé dans la maison est mille fois plus à craindre que celui qui erre dans la campagne. » ★ SULPICIA VOLTURI. ||   « L'ennemi enfermé dans la maison est mille fois plus à craindre que celui qui erre dans la campagne. » ★ SULPICIA VOLTURI. || Icon_minitimeSam 23 Fév - 23:57



« L'ennemi enfermé dans la maison est mille fois plus à craindre que celui qui erre dans la campagne. »


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Ses yeux perçants, d’un beau rouge sang flamboyant, ne cessaient de scruter dans les moindres détails ces quatre humains. Fort heureusement pour eux, l’italienne n’était plus aussi assoiffée qu’il y a quelques jours. Elle avait eut l’occasion de s’abreuver d’un peu de sang chaud, et cela lui permettait donc dans l’instant présent de garder son sang-froid. Bien que l’odeur d’un des quatre hommes lui semblait on ne peut plus alléchante…Elle huma l’air silencieusement, voulant s’imprégner de cette délicate odeur, sucrée, à ses sens vampiriques. Celui du milieu lui donnait follement envie de planter ses canines pointues dans la chair tendre de sa jugulaire, et de boire, jusqu’à l’étouffement. Sulpicia osa se demander si elle oserait tenir bon jusqu’au bout. Mais elle le devait. L’italienne avait follement envie de s’amuser aujourd’hui, et tuer son jouet avant même d’avoir commencé à l’utiliser lui laisserait assurément un goût amer.

« Oui, nous sommes perdus... En réalité, nous étions si fasciné par le décor, que l'on a oublié de suivre les autres... On a alors essayé de les retrouver, mais en vain.. On s'est alors posé là, pensant que peut être, nous finirions par les rattraper... »

Quelque chose sonnait drôlement faux dans cette réponse. Mais Sulpicia fut forcée de reconnaitre que cette excuse était facilement convaincante. La Reine des Volturi n’en tint pas rigueur, ne souhaitant pas contredire l’humain – qui décidemment, était bien le cerveau du groupe, ainsi que le vrai meneur d’hommes. Sulpicia pouvait le repérer à vue d’œil. Tout dans sa gestuelle, son langage corporel, l’assurance qu’il dégageait, ainsi que de part le timbre de voix, lui confirmaient l’hypothèse qu’il dirigeait ses compatriotes dans le château. Sans doute avait-il eut envie d’explorer davantage les lieux ? Mais cela ne tenait pas debout. Avant qu’Heidi n’enferme les touristes dans les cachots afin de nourrir la famille Volturi, elle leur donnait l’illusion d’une parfaite visite de l’endroit. Elle exposait l’histoire de ce grand château, en détaillant même la profondeur de chaque pierre ancienne ayant été utilisée pour bâtir cette immense forteresse italienne. S’il souhaitait, avec ses amis, visiter ce site historique il serait resté en compagnie du groupe.

Non, pour Sulpicia, cela était bien curieux. Un simple touriste ne déserterait pas ainsi le groupe, malgré toutes les consignes qu’Heidi distribuait avant de commencer chaque tour du château. Tous les quatre devaient chercher quelque chose. Mais quoi donc ?

Peut-être étaient-ils à la recherche de bibelots de valeur ? Il est vrai que les Volturi en disposaient d’un certain nombre, tous dissimulés aux quatre coins de la forteresse, dans leurs appartements personnels. Mais ce serait se condamner que d’y jeter un petit coup d’œil. Personne, du moins, aucun humain, ne devait savoir que des personnes vivaient réellement dans ce château d’époque, censé être abandonné et utilisé à des fins commerciales et historiques.

S’ils avaient eus le malheur d’aller plus haut, Sulpicia ne devait guère leur permettre de quitter le château en vie. Ces humains représenteraient alors un danger, et des rumeurs arrivent si vite. L’italienne se demanda jusqu’où étaient-ils allés. Quand bien même, elle ne pouvait prendre le moindre risque, dans le cas où ils ne lui divulgueraient pas la vérité. Contrairement à Aro, elle ne possédait pas le don de lire dans les pensées. Elle ne pouvait que deviner, et sentir le souffle précipité d’un potentiel menteur, ou les battements de cœur frénétiques d’un humain mal à l’aise.

« ... Avec grand plaisir, merci ! J'aurais aimé découvrir plus en détails ce magnifique bâtiment. Mais il est vrai que la visite a déjà commencé, nous avons raté plein de choses.. Il est préférable pour nous de revenir un autre jour... Je vous suis ! »

Hors, à force de fixer l’étincelle malicieuse qui scintillait dans le fond des pupilles du grand brun, elle eut la confirmation de ce qu’elle redoutait. Il dégageait une certaine excitation, et devait être quelqu’un d’assez extraverti, d’enthousiaste, de curieux. Un tempérament d’aventurier, en quelque sorte. Cela lui suffit à craindre qu’il ait mené ses amis je ne sais où dans le château, s’étant échappé de la surveillance d’Heidi. Elle grimaça intérieurement à l’idée qu’Heidi puisse avoir oublié quatre humains du groupe, durant sa petite visite entant que guide. N’était-elle pas au courant du danger que cela pourrait représenter pour leur race ? Le visage de Sulpicia s’assombrit peu à peu, tandis qu’elle se jurait de lui en toucher deux mots lorsque l’occasion se représentera.

« Bien, ma foi, je comprends votre désarroi mon cher, » rétorqua la grande blonde avec un nouveau sourire, peu habituée au fait de côtoyer le monde des humains. Sa façon de parler n’avait alors que peu évolué au fil des siècles, à cause de ce manque de contact entre les différentes générations qui s’étaient succédé. Sulpicia ne se posait pas même la question. A ses yeux, il était encore coutume de parler avec certaines manières, comme à l’ancien temps. « Et je m’engage de ce fait à vous présenter quelques endroits agréables, dans lesquels vous pourrez passer un peu de bon temps avant de prendre congé. Je m’en voudrais de vous abandonner ainsi, alors que vous n’avez certainement pas vu toute la beauté de cet endroit si empreint de souvenirs ! Suivez-moi, je vous offre une courte visite guidée, que j’ose espérer, vous apprécierez à sa juste valeur. »

Sans plus attendre, elle agita élégamment sa main droite, puis leur fit signe de la suivre à travers ces longs et interminables couloirs froids. Sulpicia les conduisit jusqu’à un petit escalier en colimaçon fait de pierre grise, éclairé de part et d’autres avec quelques torches enflammées rattachés aux murs. Ils grimpèrent jusqu’à atteindre la plus haute tour de la forteresse. C’était dans cet endroit que les appartements de la Reine se trouvaient.

« Ce que je compte vous faire visiter, est splendide, vous constaterez de part vous-mêmes. » rétorqua la sulfureuse vampire sur un ton jovial, mais étrangement suspect.

Le bruit de ses talons claquant sur la roche résonnait tout au bout du couloir, ainsi que celui des chaussures à petits talons – pour certains – des touristes américains. Ce bruit lancinant, semblable à un puits sans fond, n’osant révéler le pire s’arrêta face à une large porte en bois massif, disposant d’un verrou légèrement rouillé. Sulpicia sortit une petite clé, dissimulée dans le creux de son décolleté, n’ayant pu la ranger qu’à cet endroit en l’absence de poches sur sa robe noire. Elle déverrouilla la porte, et leur présenta une magnifique chambre gorgée de meubles anciens, de bibelots, ensemble en porcelaine importés de Chine, de peintures authentiques suspendus aux murs datant très certainement de différentes époques comme le siècle des lumières, l’ère du romantisme, de l’impressionnisme, et du Moyen-âge pour les vieilles tapisseries brodées assemblées dans un coin de la pièce. Ils se trouvaient à présent dans la chambre de la maîtresse des lieux.

Elle jeta un œil au chef du groupe, le seul qui ne donnait pas l’air d’être apeuré, celui qui devait avoir un sang au goût divin sur son palet. Son odeur n’était pas aussi insupportable qu’elle ne l’aurait auparavant cru. Il sentait bon, et devait être exquis en bouche, mais heureusement pour lui, pas au point d’être comparable à sa propre « tua cantata ». La Reine pourrait contenir ses impétueuses pulsions du moment qu’elle n’était pas affamée. A ce sujet, Sulpicia avait déjà eut l’occasion de rencontrer un humain – une humaine, pour être plus précise – lors d’un voyage en Roumanie il y a déjà quelques centaines d’années. Elle dégageait une forte senteur enivrante, d’une forte toxicité, apte à faire dérailler ses sens en l’espace d’un instant, réveillant instantanément de part sa présence ses instincts les plus bestiaux et sauvages. Jamais Sulpicia n’avait éprouvé une telle attirance pour de la nourriture avant cette roumaine. Bien que chaque humain ait un goût particulier, jamais aucun d’entre eux ne lui avait conféré cette sensation brûlante et extrêmement douloureuse, comme si sa gorge s’asséchait au fil des secondes, assaillie par une pluie d’épines tranchantes comme de l’acier. L’odeur était juste insupportable, tant elle l’excitait. Ses frères et sœurs trouvaient l’humaine fort alléchante, mais ne la percevaient pas de la même manière que Sulpicia la percevait. Car cette humaine, était sa tua cantata, à elle. Un terme que l’italienne apprit d’Aro, son élégant époux. Une tua cantata était pour un vampire, un être d’exception, dont le sang appelait ses sens d’une façon pratiquement obsessionnelle. Aro aimait employer ce terme pour justifier du fait que le sang de l’humain en question chantait à l’oreille du vampire, l’interpellant telle une doucereuse sérénade. Chaque humain dégageait une odeur différente selon chaque vampire, et libre à cette dernière d’en attirer plus particulièrement un, au hasard. Ce fut alors le cas de la Reine des Vampires. L’envie de la mordre était progressivement devenu obsédant, presque invivable pour Sulpicia. Cela lui dévorait littéralement l’esprit. Malgré les autres victimes, aucune d’entre elles ne parvint à lui faire oublier l’odeur de l’humaine, si bien qu’un soir, elle ne tint plus. L’humaine en question, une jeune enfant roumaine, s’appelait Svetlana. Et d’après ses brefs souvenirs, cet évènement l’avait intensément marquée ; comment oublier cela ? Ce fut un réel régal de goûter à son sang, dés que ses crocs pénétrèrent la chair, dés que sa langue effleura ce liquide poisseux, rougeâtre, vivifiant chaque nerf.

« Dites-moi, pour des touristes, vous me sembliez on ne peu plus curieux – J’espère satisfaire votre soif d’expérience, à présent. Que pensez-vous de la décoration de cette pièce ? Certains objets dateraient du Moyen-âge. » commença-t-elle en soupirant, les yeux rivés sur les traits du tableau de maître.





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- Bien, ma foi, je comprends votre désarroi mon cher...

Elle afficha un petit sourire que je rendis, essayant de me montrer le plus amical possible alors qu'intérieurement, j'étais soulagé à l'idée que nous allions pouvoir sortir de ce château sans se demander si nous allons pouvoir atteindre notre but ou si au contraire, nous allions tomber sur un autre vampire en route. Peu importe si j'allais rentrer bredouille. Peu importe si je ne pourrais point étudier un vampire en le scellant dans ma boîte, au moins nous serons sain et sauf, et je savais que jamais j'aurais dû accepter mes amis pour qu'ils participent au périple, dès le départ. Peut être finirais-je par revenir ici, mais de moi-même. En réalité, j'avais plus peur pour eux que pour moi-même. Je leur avais déjà causé tant de soucis par le passé que je me sentirais coupable si je les verrais s'éteindre parce que je les avais emmené en chasse. Ils avaient également des proches, de la famille qui tenaient encore à eux, tandis que malgré les récents amis que je me suis fait à Forks, je n'avais plus mes parents pour ce soucier de moi.. Comment allais-je annoncer la nouvelle aux parents de Gregory, Allen & Seamus sans qu'ils me rejètent ou pire, qu'ils se vengent où aillent porter plainte ? Je comprendrais parfaitement leur désarroi... Mais cela ne se passera pas comme ça ! Je les protègerais, jusqu'au bout s'il le faut.. ! On se défendra puisque nous en avons la possibilité avec nos équipements ! Et puis de toute façon, on allait avoir la possibilité de sortir maintenant, alors pas la peine de s'inquiéter... Enfin.... Jusqu'au moment où elle nous fit part qu'elle allait cependant nous faire une petite visite guidée avant que nous finîmes par repartir... Bien sûr, mes amis et moi-même vîmes ça d'un très mauvais œil et je perdis vite mon joyeux sourire pensant que nous allions sûrement être vite redirigé vers le reste du troupeau... Comme des moutons... Mais comment refuser sans paraître suspect ? Bon.. Je pouvais bien avoir une petite idée en tête...

- Ooh.. Euh... Non non non non ! C'est bien aimable à vous, mais on pourra repasser une deuxième fois lorsqueuuh...

Je finis par me couper, et me résignais à la suivre accompagné de mes alliés alors qu'elle était déjà en route. Pendant notre marche, j'allais cacher mon laser que j'avais sortis, dans ma poche afin d'éviter tout imprévu si une personne viendrait à passer par ici et apercevoir l'arme sortit. Certes, il ne ressemblait en rien à ceux que l'on pouvait habituellement trouvé, étant l'une de mes inventions les plus sublimes, mais je voulais éviter tout incident. Ainsi, il me suffira de le ressortir au bon moment si nous devions nous défendre... Nous marchions donc tranquillement à l'intérieur du château et regardâmes de droites et à gauche jouant le rôle de touriste cette fois-ci tout les quatre. J'osais même prendre en photo ce magnifique endroit ne sachant réellement si c'était interdit ou non mais au moins, cela me pouvait me permettre d'avoir en mémoire des passages pour pouvoir prendre la fuite si cela en valait l'utilité... Puis finalement, nous rejoignîmes des escaliers qui ne cessaient de monter.. Plus nous nous hissâmes et plus la peur apparaissait en moi. La Sortie devait se trouver déjà bien trop loin pour que l'on ne puisse réellement lui échapper. Je craignais le pire et tentais de me cacher mon visage en regardant le sol pour pas laisser paraître mon inquiétude... Avant de prendre doucement mon inspiration pour me rassurer... Du Calme Campbell, tu es armé et vous êtes quatre contre un vampire. Avec de tels armes, tu pourras la vaincre...

Oui, sauf que le seul problème c'était le reste des vampires qui trainaient ici, sinon cela aurait été un jeu d'enfant. Mais je secouais la tête et tentais de me concentrer sur la situation présente, j'affichais alors un petit sourire et repris mon attention sur le paysage...


Ce que je compte vous faire visiter, est splendide, vous constaterez de part vous-mêmes.
- Je n'en doute pas !

Finis-je par rajouter alors que mes amis acquiesçaient comme s'ils commençaient à s'amuser à jouer également eux aussi, aux touristes. Nous arrivâmes devant une porte où la vampire nous fîmes entrer avant de refermer derrière nous, alors qu'elle semblait penser à autre choses, je ne me fis pas plus prier pour m'approcher des décorations et de prendre quelques photos en affichant des plus grands sourires d'émerveillements.. Me doutant bien, d'après les dires, que les Volturis habitaient ici, je commençais à me demander à qui cette chambre pouvait bien appartenir. Sans doute à elle, ce que je ne douterais point et me demanderais pourquoi elle irait nous montrer une chambre d'une autre personne, à moins que c'était la pièce la plus proche et qu'elle se servait de celle-ci pour nous garder à l'intérieur du château un peu plus de temps.. Cela n'empêcha pas mes autres amis de se mettre à l'aise, laissant tomber leur valise où contenait l'arc et le lance-filet, sans pour autant s'en éloigner. Je m'arrêtais un instant de jouer au photographe amateur alors que la vampire avait reprit la parole, expliquant que nombreux de ces objets dataient de plusieurs années jusqu'à même le Moyen-Âge. Même si je trouvais ces créations particulièrement extraordinaire et ne m'étonnais point qu'on veuille à conserver ces objets, nous n'étions point venu pour ça... Malheureusement.

- Cette pièce est absolument sublime ! C'est un honneur pour nous de faire partis des seuls qui ont pu apercevoir de tels décorations ! Cependant...

Je regardais un instant le sol en fronçant les sourcils, la laissant sur la fin. Une idée me vint en tête. En définitive, peut être finirions nous par capturer un vampire pour le ramener à Forks.. Et qui plus est, c'était une Volturi ! Mais je savais que cela pouvait vite devenir dangereux si mon plan ne fonctionnait pas. Aussi, j'attrapais vivement mon laser dans la poche de ma veste avant de le pointer dans la direction de la jeune femme... Je ne pus m'empêcher alors d'afficher un grand sourire remplit de malices, mais attention, je savais bien que je n'avais encore gagné la partie. Seulement, j'étais satisfait de mon effet...

- ...AHAH ! tu ne t'attendais pas à ça, hein !? Vampire !... Et je vous préviens que si vous osez bouger ne serait-ce que le petit doigt, je ne me retiendrais pas pour vous trancher la tête avec ce laser !... Allen, Gregory & Seamus, équipez-vous de vos armes...

Okay... C'était peut être du suicide de se dévoiler maintenant et j'avouais essayer de rester sur place, j'étais quand même super mal à l'aise. Maintenant, c'est clair, il ne fallait pas faire la moindre erreur sinon, nous étions mal. Je continuais donc de garder mon laser pointé dans sa direction, sans même cligner de l'œil de peur de la perdre de vue et qu'elle vienne à se jeter sur nous.. Mais après tout, ne nous avait-elle pas guidé ici pour s'abreuver de nous ? Bref, il était trop tard pour faire marche arrière et bien que j'avais quelques plans en tête pour nous sortir de là, je savais que je ne pouvais nous sauver éternellement... Peut être que nous nous trouvions même bien trop loin de la sortie pour se sauver...
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MessageSujet: Re: « L'ennemi enfermé dans la maison est mille fois plus à craindre que celui qui erre dans la campagne. » ★ SULPICIA VOLTURI. ||   « L'ennemi enfermé dans la maison est mille fois plus à craindre que celui qui erre dans la campagne. » ★ SULPICIA VOLTURI. || Icon_minitimeVen 8 Mar - 14:13



« L'ennemi enfermé dans la maison est mille fois plus à craindre que celui qui erre dans la campagne. »


Slo Fuzz by Sol Seppy on Grooveshark

Sulpicia était désormais à deux doigts de se jeter sur l’un des humains au goût appétissant. Des flashs incessants se perpétuaient dans son esprit, dans lesquels elle se voyait vider chaque humain de son sang, jusqu’à n’en laisser aucune goutte. La vampire ferma ses yeux durant quelques secondes en tentant de calmer son envie de sang. C’était mauvais signe. Elle commençait à avoir très soif, et les savoir tous les quatre dans ses appartements n’arrangeaient définitivement pas les choses. Elle avait pourtant su conserver son sang-froid jusque là, ce qui était notamment du à ses millénaires d’existence. Ses yeux rougeâtres et perçants fixèrent alors chaque visage, détaillèrent chaque trait, chaque froncement de sourcil, ainsi que chaque battement précipité de cœur. Elle imaginait déjà mentalement lequel d’entre eux serait sa première victime. Ses lèvres fines et rosées s’étirèrent lentement en un large sourire imprégné d’un brin de folie, et d’hystérie. Son regard luisait de démence, toujours en leur direction, ne daignant pas les quitter une seule seconde tant cela l’obsédait. Sulpicia était désormais tailladée par l’irrésistible envie de s’abreuver d’eux au plus vite ; si bien que l’attente se faisait extrêmement douloureuse pour elle. Sa gorge en brûlerait presque de délice.

Sulpicia s’apprêtait à faire un pas en leur direction, prête à ôter la vie du grand et mignon brun, lorsque brusquement ce dernier ne sorte une drôle d’arme qui lui était visiblement inconnue.

« ...AHAH ! tu ne t'attendais pas à ça, hein !? Vampire !... Et je vous préviens que si vous osez bouger ne serait-ce que le petit doigt, je ne me retiendrais pas pour vous trancher la tête avec ce laser !... Allen, Gregory & Seamus, équipez-vous de vos armes... »

Un laser ? songea-t-elle distraitement. Quelle arme étrange.

L’italienne fronça les sourcils, mimant l’étonnement. Et ce fut à ce moment précis, que le cerveau du groupe avoua connaître leur existence. Il déblatérait énormément de choses, très compromettantes pour leur monde, et qui ne firent que la convaincre de l’exécuter. Son visage restait indifférent, comparable à du marbre blanc. Sulpicia continuait niaisement de sourire, extrêmement amusée par ces jeunes mortels. Cela ne l’effrayait nullement qu’ils puissent porter des armes avec eux, bien au contraire, elle qui s’ennuyait tant dans l’immensité vide de cette tour, venait de dénicher de nouveaux partenaires de jeu.

« Vous savez donc…Intéressant… » siffla Sulpicia d’une voix mélodieuse, presque chantante. « Par qui, dites-moi ? » renchérit-elle plus doucement.

Sulpicia préféra rester calme, bien que la tentation de se jeter sur eux et de leur arracher littéralement la tête commençait à grossir de plus en plus. Elle sentait à cette distance leur cœur encore battant vivre, pomper ce si délicieux sang, et s’emballer à mesure qu’elle s’avançait vers eux. Avant de pouvoir les vider de leur sang, elle se devait de les mettre hors d’état de nuire. Bien que Sulpicia n’ait que très peu d’expérience en armements humains, elle éprouvait un doute concernant le fait que ces outils puissent forcer la barrière de sa peau de marbre. N’y avait-il pas que le feu capable de la tuer ?

« Croyez-vous vraiment pouvoir me tuer ainsi très cher ? » cracha-t-elle avec mépris. Sur ces quelques mots, elle releva légèrement son menton et défia Campbell du regard. Ce dernier progressa doucement vers ses compagnons, tandis que le rictus sur son visage s’agrandissait au fur et à mesure. Elle reporta finalement son attention vers l’américain. « Ainsi soit-il… »

La Reine des Vampires fixa ardemment l’humain tenant le laser, souhaitant ne faire plus qu’un avec son esprit. Rapidement, elle força ses barrières mentales, et pénétra dans sa tête durant une simple et petite minute, lui volant sa conscience. Ce peu de temps lui suffit à le forcer à détourner le viseur du laser pour le porter vers ses compagnons qu’il – sous l’influence de Sulpicia – décapita rapidement. Les trois têtes se détachèrent de chaque corps dans un silence morbide et heurtèrent le parquet froidement, éclaboussant le tapis, répandant du sang sur les murs, ainsi que sur lui-même.

Sulpicia relâcha ensuite son emprise, et le délivra, après s’être emparée du laser qu’elle brisa dans sa paume de main avec une facilité déconcertante. Arrivant comme par magie dans son dos, ses lèvres vinrent effleurer l’oreille de Campbell, lui faisant partager son souffle glacé.

« Je déplore votre inconscience… Vous n’auriez jamais du quitter votre groupe. »

Un léger rire chantant s’échappa de ses fines lèvres rosées, dévoilant une dentition bien blanche, aux canines pointues, d’un tranchant comparable à des lames de rasoir. Sulpicia promena ses canines le long du cou de l’humain, humant son odeur avec ravissement.

« Mais tu es mignon, peut-être te garderai-je en vie rien que pour porter le deuil des compagnons que tu as lâchement abattu. »



[ Pardonne moi pour le retard mon Camy >_<. J'ai été malade & eu pleins de choses à rattraper dans mes cours ._. J'espère que tu ne m'en veux pas ! ]




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HS : Non, ne t'en fais pas c'est pas grave :3.

- ...AHAH ! tu ne t'attendais pas à ça, hein !? Vampire !... Et je vous préviens que si vous osez bouger ne serait-ce que le petit doigt, je ne me retiendrais pas pour vous trancher la tête avec ce laser !... Allen, Gregory & Seamus, équipez-vous de vos armes...

En un instant, il me semblait avoir reprit confiance en moi. J'avais l'impression d'être seulement en chasse comme à mon habitude et que j'étais simplement à la poursuite de l'un de ses buveurs de sangs, sans me soucier réellement du véritable danger, car selon moi, je n'étais plus du tout un débutant et j'avais même réussis à garder prisonnier un vampire chez moi, dans mon laboratoire et vivant. Mais aujourd'hui, bien que nous étions plusieurs, cela n'empêchait pas d'être dans une situation plutôt délicate. Tout d'abord parce que nous avions justement fait la rencontre de l'une de ces créatures et qui plus est, dans sa demeure. Mieux encore, elle n'était pas seule. Le simple fait que nous pouvions point atteindre directement la sortie était déjà un très mauvais signe. Certes nous aurions pus essayer de créer une sortie par nous même, comme avec les flèches explosives qui pourraient créer de sérieux dégâts et alerter plus ou moins l'Italie, les mettre dans le doute concernant les vampires et les pousser alors à se défendre. Mais au départ, s'il est possible de choisir la fuite discrète, alors nous agirons ainsi pour ne pas avoir le reste des vampires à nos trousses.. Mais pour le moment, disons que le vent tournait en notre faveur. J'avais la vampire en joug et bien qu'elle semblait afficher aucune peur, au contraire, elle souriait, ne changeait point d'expression... Elle possédait une mine plutôt effrayante... Était-ce pour cacher sa peur ? Où alors se moquait-elle de nous ? Après tout, nous n'étions qu'au départ de simples touristes en voyage pour elle, il se pouvait que nous soyons assez étrange à la menacer subitement. J'étais peut être chasseur de vampires, j'avais peut être réussis à en tuer quelques uns, mais je restais premièrement un humain et je n'étais en rien aussi fort ni aussi rapide qu'un vampire. Ce qui valait un sérieux handicap dans ce travail. A risquer sa vie chaque jours et se demander si l'on finirait par y ressortir vivant tel un héros. Mais aujourd'hui, je ne pouvais prévenir ce que l'avenir me réservait. Espérons juste que cela ne tourne pas au cauchemar...

- Vous savez donc…Intéressant… [...] Par qui, dites-moi ?

... Je me mordais un instant la lèvre inférieure, hésitant à tout lui révéler. Il y avait bien Élise a qui j’éprouvais aujourd'hui de durs remords. Nous avions eut ensemble une vie si tranquille avant qu'elle ne vienne à me piéger en forêt désirant alors s'abreuver de moi... C'est à ce moment là que je découvris l'existence des vampires. Elle ne m'aurait pas attaqué et nous serions resté ensemble, alors sans doute associerais-je encore aujourd'hui les meurtres animaliers avec ceux des vampires.. C'est d'ailleurs elle également qui me poussa à traquer les vampires. Bref, l'idée de l'avouer à cette vampire était plutôt tentant. J'imagine que comme ils doivent garder le secret, Élise aurait alors reçu sans doute une peine terrible. Et pour la haine que j'éprouvais contre elle, je ne me soucierais pas pour son sort. Mais d'un autre côté, quelque chose me poussait de ne rien dire, que d'un côté, je ne voulais pas que cela arrive. Je voulais, même si elle avait bien faillit me tuer, qu'elle reste en vie malgré tout. Je voulais la revoir et savoir ce qu'elle pensait de moi à présent, si elle désirait se pardonner ou non.. C'est à ce moment là alors que je ferais mon choix, pas avant.
Ensuite, il y avait eut Renesmée qui m'apprit d'avantage sur l'existence des vampires, que tous ne se nourrissent pas forcément du sang humain et que d'autres essayaient même de boire du sang des animaux pour paraître comme le sont les mortels. Qu'ils n'aimaient d'ailleurs pas tous leur condition. J'appris également l'existence des hybrides et bien sûr c'est comme ça que je sus où se trouvait les Volturi et qui ils étaient, suite à l'histoire de la jeune hybride. Elle avait plus ou moins aider pour que j'en sache d'avantage sur eux. Mais bien sûr, ça non plus je n'allais pas le dire. Je savais bien que sa famille et que celle des Volturi eurent quelques tensions, si maintenant je rapportais ces dires, alors je risquais de créer quelques problèmes. Et je ne voudrais pas attiser la tension qu'il y avait déjà entre les deux clans. Rien que pour Renesmée, qui était une grande amie..
Je repris mon attention sur la buveuse de sang et fit un petit sourire tout en la regardant..


- Je ne le dirais pas...

Je regrettais bien vite ma réponse, je ne savais si cela la provoquerait où non, mais j'étais bien décidé à ne rien dire. Même si je me retrouvais au fin fond de ce château et que les chances de survies étaient infimes. Je ne voulais pas après recevoir les représailles de qui que ce soit alors que c'était de ma faute si j'avais décidé de m'aventurer ici... Aussi bien de Renesmée qu’Élise. Non, je ne voulais pas créer des dettes, à personne...

- Croyez-vous vraiment pouvoir me tuer ainsi très cher ?

Je ne savais quoi répondre alors que son ton se faisait bien plus sinistre. Et au lieu de l'affronter, c'est silencieux que je reculais doucement vers mes amis, la tête légèrement baissée. Le bon moment pour l'attaquer semblait être déjà passé depuis longtemps. Je n'aurais jamais dû me joindre à la conversation, réfléchir, chercher. J'aurais dû simplement lui trancher la tête sans chercher à comprendre quoique ce soit... Mais il était trop tard, impossible de fuir car nous serions rattrapé bien trop vite, impossible de l'affronter avec mon laser car elle pouvait à présent anticiper mon attaque et je ne sais maintenant ce que nous allions devenir...
La scène suivante me sembla incroyablement irréelle. Je me vis en train de faire volte-face en direction de mes trois amis et de pointer mon laser dans leur direction. Je désirais pourtant garder la créature en joug et non Gregory, Allen et Seamus qui étaient en train de me regarder avec effroi. A ce moment là, ma seule plus grande peur était qu'elle ne vienne à nous bondir dessus à cause de mon inattention. Mais au lieu de cela, une chose terrible se passa. J'actionnais mon arme, libérant le laser qui vint trancher net les têtes de mes compagnons, avant qu'elle ne viennent à rouler sur le sol tandis que le reste du corps baignaient dans une marre de sang.. La Pièce qui avait semblé si accueillante et magnifique au départ était à présent, une scène où s'était déroulé un massacre monstrueux.
Je regardais les trois corps inertes et ôtés de leur têtes un instant sans broncher tentant d'assimiler ce qui venait de se passer. Pour moi, cela semblait impossible. Ils ne pouvaient pas être mort. Non. Ils ne doivent pas être mort. Surtout pas. J'ai promis que je les protègerais ! Et puis, ce sont mes amis. Je n'ai pas pu faire ça. Même si je me serais montré égoïste, pour me protéger. Impossible... J'entends alors un bruit comme quelque chose qui se casse et je remarque alors que mon laser ne se trouve plus dans mes mains. Je suis désarmé, mes plus proches alliés étaient morts et je me retrouvais coincé dans ce château. J'étais foutu, je le sentais. Peut être allait-elle me tuer également. Je n'en doute pas. Mais je ne m'en préoccupe pas vraiment. Je suis plus focalisé sur ce qui reste de Gregory, d'Allen et de Seamus. Je finis alors par accepter que c'était finit. Je sens alors l'angoisse monter en moi en tremblant légèrement et en laissant perler quelques sueurs froides. Mais la tristesse me gagne plus rapidement encore, et je laisse les larmes me brouiller la vue. Sous le choc, j'eus également un léger vertige et manquais de tomber plusieurs fois à cause de mes jambes qui tremblaient. J'étais brisé, détruit, complètement anéantit.. Et je n'essayais même pas de surveiller les alentours prêt à me défendre contre la vampire si elle se décidait enfin à m'attaquer ensuite... Même lorsque je sentis sa présence juste derrière moi. Je me contentais simplement de rester droit comme un I, en restant tête baissée, continuant de pleurer silencieusement et de trembler légèrement...


- Je déplore votre inconscience… Vous n’auriez jamais du quitter votre groupe.

Elle se mit alors à rire alors que je ravalais ma salive. Nous n'aurions dû point venir ici du tout. Si je l'aurais su, jamais je n'aurais osé défier les Volturi. J'aurais dû faire attention, et maintenant, mes amis étaient morts à cause de moi tandis que j'étais toujours vivant. Je secouais la tête n'arrivant pas à oublier les images de mes associés morts qui me hantaient. Je fermais les yeux pour ne plus rien voir, ne pas chercher à savoir la suite, laisser cette vampire s'abreuver de moi si elle le désirait, je méritais bien plus ce sort que Seamus, Gregory et Allen. D'ailleurs, je tendais mon cou, dévoilant ma gorge alors qu'elle sortit les crocs comme prête à les planter dans ma jugulaire... Mais je grimaçais tandis qu'elle me disait qu'elle allait finalement me laisser en vie.. Dans un sens, cela me décevait, je ne voulais pas être torturé tout le long de ma vie pour ce que j'avais commis. Elle aurait pu me vider de mon sang et c'était finit.. Mais non. Elle avait décidé de me laisser en vie. Cela voudrait dire que j'allais pouvoir sortir du château vivant ? Ça me rassurait un peu, mais cela ne pardonnera jamais ce qui s'est passé ici pour autant. Peut être finirais-je par revenir ici pour terminer mon travail... Je rouvris doucement les yeux avant de reprendre la parole...

-Vous allez donc me laisser repartir...?
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